Des panneaux solaires qui fonctionnent aussi sous la pluie, coup de pub ou vraie bonne idée ?Aujourd’hui, un panneau solaire lorsqu’il pleut, ça ne sert pas à grand-chose.
Il produit un peu grâce à la lumière, mais le rendement reste minime. Si beaucoup considèrent que ces panneaux sont de véritables arnaques, il faut bien faire la différence entre les sociétés frauduleuses et la réelle capacité de production de l’installation.
Cette technologie fonctionne (oui, c’est prouvé). Toutefois, une mauvaise installation ou des conditions non favorables peuvent nuire à la fonction première : FAIRE DES ÉCONOMIES !
Mais avec l’arrivée de ces panneaux fonctionnant sous la pluie, les choses pourraient bien changer !
Vous allez voir que ce nouveau dispositif réserve de nombreuses surprises.
Un panneau solaire sans soleil ? Mais enfin, comment ça marche ?
Nous ne sommes pas tous égaux face au rendement des panneaux solaires.
Au Royaume-Uni par exemple, il pleut en moyenne 42 % de l’année.
Alors des chercheurs chinois ont mis au point de nouveaux panneaux photovoltaïques, capables de générer de l’énergie à partir de l’eau de pluie.
Ce qui fait la différence, c’est le graphène, « destiné à résoudre la crise énergétique » selon les concepteurs. Il s’agit d’un matériau bidimensionnel très conducteur, capable sous l’effet de l’eau de lier les ions positifs avec leurs électrons.
Dès lors qu’ils atteignent une quantité suffisante, ils se lient au graphène afin de produire du courant électrique.
Où en est le projet aujourd’hui ?
Si l’invention est vouée à être développée à des fins commerciales, sa production en masse n’est que peu envisageable. La raison ? Le coût élevé de la production du graphène. Il faudra certainement attendre plusieurs années avant de pouvoir installer ce type de système, pourtant bénéfique pour notre environnement.
Les avantages du panneau solaire « classique » pour les entreprises
Alors que les particuliers doivent financer seuls leur installation (souvent par un emprunt), les entreprises disposent d’une option spéciale : la formule de « tiers investisseur ». Dans ce cas, l’entreprise n’investit pas le moindre centime dans l’installation. Elle peut ainsi conserver son capital et le consacrer à sa croissance, pendant que sa facture d’électricité diminue.
L’installation de ces panneaux produit plus qu’il n’en faut ? Cet excédent peut être réinjecté sur le réseau. L’entreprise peut être rétribuée pour cela, mais à un prix inférieur à celui du coût de consommation. Il lui suffit de conclure un contrat avec son fournisseur d’électricité. Elle peut même conclure un contrat auprès de deux fournisseurs différents : l’un pour l’achat d’électricité, l’autre pour la vente de l’électricité injectée dans le réseau.
Qu’en pensez-vous ?
Laurie. C